S’agissant du livre d’Henri GUILLEMIN « HUGO », il commence par une citation du poète qui revêt toute sa signification aujourd’hui : « je m’ignore ; je suis pour moi-même voilé, DIEU seul sait qui je suis et comment je me nomme ».
Extrait du poème l’An neuf de l’Hégire dédié au prophète MOHAMED (psl)
Le lendemain matin voyant l'aube arriver:
"Aboubèkre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière.
Et sa femme Aïsha se tenait en arrière;
Il écoutait pendant qu'aboubèkre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset;
Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte.
Et l'ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu'on lui permit d'entrer.
"Qu'il entre."On vit alors son regard s'éclairer
De la même clarté qu'au jour de sa naissance;
Et l'ange lui dit:"Dieu désire ta présence.
Bien", dit-il Un frisson sur ses tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut »
L’auteur de ce poèmes inimitables, HUGO, prononça la profession de foi (chahada) attestant que DIEU est unique et sans associé et MOHAMED est son serviteur et son envoyé le 6 septembre 1881 dans son appartement à PARIS en présence du Scheik Ibrahim de TLEMCEN d’ALGERIE et adopta en conséquence le nom d’Abou Bekr HUGO.
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